Avec le Centre de philosophie du droit (UCL, Belgique) et l'université des Nations unies (UNU/IAS), l’Iddri ont organisé une table ronde internationale « Feasibility and Cost of Certificates of Origin ». Une cinquantaine de participants ont examiné les certificats d’origine, leur faisabilité et leur coût.
Cette table ronde s'inscrit dans le cadre de la réflexion conduite sur l’accès aux ressources génétiques et le partage juste et équitable des avantages tirés de l’utilisation de ces ressources. Le certificat d’origine pourrait être utilisé pour suivre les flux de ressources génétiques à l’échelle internationale. Il permettrait de repérer l’existence d’un consentement préalable à l’utilisation des ressources, de protéger la confidentialité des contrats, de réduire les coûts de transaction, de faciliter la traçabilité des flux de gènes, de promouvoir le commerce, d’inciter les pays d’origine à développer des règles et des procédures d’accès et de partage plus flexibles.
Cette table ronde s'inscrit dans le cadre de la réflexion conduite sur l’accès aux ressources génétiques et le partage juste et équitable des avantages tirés de l’utilisation de ces ressources. Le certificat d’origine pourrait être utilisé pour suivre les flux de ressources génétiques à l’échelle internationale. Il permettrait de repérer l’existence d’un consentement préalable à l’utilisation des ressources, de protéger la confidentialité des contrats, de réduire les coûts de transaction, de faciliter la traçabilité des flux de gènes, de promouvoir le commerce, d’inciter les pays d’origine à développer des règles et des procédures d’accès et de partage plus flexibles.
