Nous avons poursuivi la réflexion sur la place des services essentiels comme vecteurs de cohésion sociale et territoriale dans les diverses villes du sud. Face au désengagement de l'Etat souhaité ou subi, différents modes de gestion et de régulation se sont développés à l'initiative de communautés locales. Dans d'autres contextes, le recours à des opérateurs privés au travers notamment des concessions a été encouragé. Quelles leçons retenir de ces expériences ? Quelle contribution apportent-elles dans la mise en oeuvre de politiques urbaines redistributives ?