Une intervention d'Alexandre Magnan (session 6, vendredi 1er octobre) dans le cadre du colloque « Sociétés et Catastrophes naturelles », manifestation scientifique de solidarité avec Haïti.

Présentation du colloque :

« [Le projet est d'] organiser [...] un débat scientifique sur le thème "Sociétés et Catastrophes naturelles", au cours duquel seront présentés des travaux de recherche sur le thème, des témoignages. Ce colloque sera l’occasion également d’échanger avec les administrations et les collectivités en charge de la prévention des risques et de la sécurité civile dans la région Centre Val de Loire. »

« Tous les territoires sont assujettis à une forme ou une autre de risque naturel, qu’il soit d’origine géologique, météorologique ou hydrologique. Cependant, ces risques restent heureusement maîtrisables la plupart du temps, et peu de territoires expérimentent la catastrophe naturelle redoutée.
Si l’aléa naturel est hors de portée de la capacité d’action des sociétés, celles-ci sont diversement affectées par les aléas extrêmes. L’intensité d’une catastrophe naturelle dépend davantage du degré de vulnérabilité de la société que de l’intensité de l’aléa auquel elle est exposée. Les aléas naturels ont un caractère récurrent, mais un même territoire n’en subit pas la dévastation de manière identique d’une fois sur l’autre. [...] »