À Reid Hall - de 12h30 à 14h00

Le financement des trajectoires de développement compatibles avec les Objectifs de développement durable (ODD) et la limitation du réchauffement climatique en-dessous de +2°C pose la double question des modèles de transition écologique à promouvoir et du besoin de ressources pour le Fonds vert.

A quelques mois de la COP21, les besoins de financement du Fonds vert ne sont pas assurés. Comment trouver les ressources additionnelles ? Quel doit-être le rôle des bailleurs de fonds ? Promouvant les co-bénéfices entre projets de développement et projets climatiques, la France et l'AFD soutiennent l'idée qu'une aide publique au développement (APD), même limitée, peut avoir des effets de levier et accroître les co-bénéfices développement/climat pour un euro dépensé sous forme de don ou de prêt.

Certaines questions restent ouvertes. L'APD – et en particulier l'APD française – dispose-t-elle d'un avantage comparatif dans le financement des transformations énergétique, sociale, environnementale ? Dans l'écosystème du financement du développement, quelle est la place de l'APD aujourd'hui – et celle anticipée à 10 ou 15 ans ? Enfin, dans une logique d'expérimentation et d'apprentissage, quels rôles les think tanks et la recherche sont-ils amenés à jouer pour accroître les performances des sommes investies dans les changements de trajectoire de développement ?

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Interview de Gaël Giraud