« Dans le cadre de la Convention sur la diversité biologique (CDB) et du Protocole de Nagoya, les Parties doivent s’assurer que des accords sont conclus entre utilisateurs (e.g. entreprises) et fournisseurs (e.g. communautés) de ressources génétiques, portant sur les conditions d’accès (bioprospection) et d’utilisation (activités de recherche et de développement) de la ressource génétique ou de la connaissance traditionnelle associée, ainsi que sur les modalités d’un partage juste et équitable des avantages découlant de cette utilisation. Pour beaucoup, ces accords d’accès et de partage des avantages (APA) pourront notamment permettre de financer la conservation de la biodiversité. Mais qu’en est-il vraiment, un an après l’entrée en vigueur du Protocole ? [...] »

Un article écrit par Romain Pirard (CIFOR) et Renaud Lapeyre (Iddri) dans le n°101 (1er trimestre 2016, pp.73-76) de la revue Liaison Énergie-Francophonie, « Protocole de Nagoya : les multiples facettes de sa mise en oeuvre ».

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