Contexte et enjeux

Les expérimentations d’outils de crowdsourcing se multiplient dans les collectivités, et montrent de réelles promesses pour la conception et la gestion urbaines et la participation citoyenne, avec des apports tant techniques (données utiles) que politiques (dynamique collective).

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3 utilisations principales de ces outils peuvent être identifiées :

  1. se rapprocher d’une ville « omnisciente » ;
  2. partager l’expérience urbaine et son évaluation ;
  3. co-construire le futur de la ville. 

Elles correspondent à 3 niveaux de contribution attendue du citoyen :

  1. recensement ou signalement,
  2. expression de préférences et d’attentes,
  3. propositions d’idées et projets pour aider à la décision.

Les villes doivent être attentives à l’expérience proposée au contributeur. L’outil numérique embarque un « logiciel » politique, qui définit le niveau de transparence, de dimension sociale, de liberté de contribution et de mise en capacité, et donc la nature de la démarche de la ville. Nous proposons un mode d’emploi pour le prendre en compte lors de la conception des outils.

Objectifs 

En France comme à l’international, le « crowdsourcing urbain » fait l’objet de nombreuses expérimentations, menées par des autorités publiques, des acteurs privés et des collectifs citoyens. Le projet crowdsourcing urbain a permis de tirer les premières leçons de ces expérimentations, et de proposer des analyses afin d’accompagner les acteurs dans leur utilisation de ces outils numériques.

Ce projet a été mené par Mathieu Saujot et Tatiana de Feraudy.

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